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J’ai un problème.
J’ai récemment réalisé qu’écrire un article par semaine pendant 1 an équivaut à écrire un roman tout entier.
Sans le savoir, j’ai donc déjà produit plus de 3 livres !
Ça m’a fait tout un choc. Des romans, j’en écris, et je sais bien quelle quantité de boulot ça représente, mais je n’avais jamais réalisé que je faisais la même chose avec mes articles. Aujourd’hui, je ne peux vraiment plus me permettre de considérer ce blog comme un simple « à-côté ».
Mais attendez voir, que je vous explique…
Les coulisses de « La vie au XIXe siècle »

Vous vous doutez bien qu’un site comme celui-ci, c’est beaucoup de travail.
Chaque article représente environ 12 à 14 heures de travail selon la complexité du sujet, entre les recherches, la rédaction, le traitement des images, la publication, le partage sur différents réseaux sociaux (dont une douzaine de groupes Facebook), puis mes réponses aux nombreux messages et commentaires que vous m’envoyez sur ces réseaux, sur le blog ou par email. Sachant que je publie un nouvel article tous les mercredis, ça représente un gros engagement chaque semaine.
À cela s’ajoute en plus le temps consacré à la gestion technique du site, à rééditer d’anciens articles pour les mettre à jour, sans compter les frais annuels à payer pour l’hébergement, les licences de logiciels, etc.
Au total, ce blog me prend pas loin de deux jours par semaine, je dois donc trouver un moyen de rémunérer tout ce travail.
Et la pub, alors ?

Il n’y a pas 36 façons de monétiser un blog : on peut afficher des bannières publicitaires, faire des affiliations ou des articles sponsorisés. Dans tous les cas, ça revient à me transformer en commerciale pour vous vanter les mérites de tel ou tel produit.
Sauf que…
J’ai essayé de mettre de la pub, pendant 2 mois, pour voir ce que ça donnerait, mais je ne pouvais pas contrôler le résultat et, au final, j’ai détesté l’expérience. Je me sentais super mal pour vous, lecteurs, bombardés de pubs qui trouvaient le moyen de se glisser partout, en particulier à des endroits gênants pour votre confort de lecture. Mon blog était défiguré, ce n’était plus l’endroit agréable que je souhaite vous offrir, donc j’ai tout enlevé.
Et puis, surtout…
Vous ne venez pas sur ce blog pour faire du shopping.
Vous venez pour lire des trucs que j’essaye de rendre intéressants, instructifs et rigolos, et de façon générale je n’aime pas beaucoup l’idée de vous inciter à consommer. La seule chose que je vous encourage à acheter, ce sont mes romans ! 😉 Ainsi que tous les produits culturels en général (livres, films, jeux, musiques, concerts, musées, spectacles), qui font du bien à la tête et au coeur, et qui peuvent se dématérialiser facilement (oui, j’assume mon discours de fille aux tendances minimalistes 😉 ).
J’en ai donc conclu que, sans recours à la pub, il ne me reste qu’une solution : me tourner vers vous.
Offrez-moi donc un café !…

… ou un thé, ou ce que vous voulez, histoire de garder mes neurones bien affûtés quand j’explore pour vous les méandres de l’aristocratie anglaise et la vie de ses domestiques, les objets chelous dont on se demande bien à quoi ils pouvaient servir, les règles d’étiquette absurdes qui n’en finissent jamais, ou les pratiques sordides des maisons closes…
J’ai ouvert un compte Patreon pour vous permettre de faire des dons mensuels réguliers ou ponctuels, selon vos possibilités. Même un tout petit don est une belle manière de me remercier pour mon travail et de m’encourager à continuer.

Et puis… avec ou sans café, je vous remercie pour tous vos commentaires, vos emails et vos likes.
Ça me fait chaud au coeur de voir que ce blog vous plaît autant ! 🙂
